Maison à vendre, Ilfov, à Bucarest, Roumanie

La résidence est un euphémisme. Il s’agit plutôt d’un concept résidentiel à grande échelle, entouré d’énergie positive, construit au cœur de Codril Vlăsiei, à une courte distance du futur périphérique A0, de l’aéroport international Henri Coandă et de la ville commerçante de Băneasa. Caché de la vie trépidante et de la pollution de la ville, dans une zone où vous pouvez entendre le chant des oiseaux sauvages par la fenêtre, cette propriété unique dispose d’un terrain de 14 000 mètres carrés, un privilège dont peu de propriétés résidentielles bénéficient dans le voisinage immédiat de la capitale. Les chambres généreuses, les planchers de bois massif, les vitraux, les boiseries et les finitions classiques et intemporelles ne sont que quelques-uns des attributs de la maison qui ressemble à quelque chose d’un conte de fées moderne. La piscine intérieure et la cheminée accueillent les jours glacials, et le jardin apparemment sans fin, qui, avec le lac bordé d’arbres et les promenades relaxantes à travers la forêt privée, souligne la véritable définition du luxe. La propriété dispose de panneaux photovoltaïques d’une puissance de 17 kw et d’une fonction prosommateur, d’un ascenseur interne et d’un garage couvert pour 3 voitures. C’est une opportunité d’achat rare avec une belle histoire derrière elle, où le propriétaire a au fil du temps joint plusieurs parcelles de terrain, y compris un morceau de forêt de chênes, qui fait maintenant partie intégrante de la propriété. En plus d’un cloisonnement pratique et de finitions de bon goût, la maison peut être habitée par deux familles en séparant les zones. Étant à la première vente depuis la construction, le propriétaire avoue qu’il est difficile de s’en séparer, partageant l’histoire suivante: « Plusieurs fois, lorsque je préparais le lancement du projet, je me suis demandé, à quoi devrait ressembler ma maison? J’ai parcouru des dizaines de sites avec des projets célèbres, des photos de maisons célèbres, des villas médiévales et des monuments historiques. Ni l’un ni l’autre ne semblait être l’expression de mon attente. Je me suis toujours dit que je voulais qu’il reflète la situation de ma maison d’enfance, où personne ne pouvait regarder à l’intérieur sans y être invité mais, d’un autre côté, il avait le dos au jardin et à la forêt. Et en même temps, d’avoir une large ouverture sur la forêt, d’être séparé mais aussi relié à une zone de service. Eh bien, s’ils pouvaient laisser la forêt pénétrer à l’intérieur, ce serait encore mieux. Et si je peux faire en sorte que la végétation se répande, symboliquement, dans la maison, ce serait merveilleux de pouvoir allumer un feu qui ne masque pas ma vue sur le jardin et les chênes. Dès le début, j’ai imaginé une maison avec de grandes fenêtres, de la taille d’un but de football, avec de larges portes, avec des ouvertures par lesquelles la nature et la forêt pourraient passer et l’embrasser de tous les côtés. Quand je suis entré pour la première fois dans la clairière avec de l’herbe jusqu’à la taille, entouré de grands chênes, je me suis dit : « C’est l’endroit pour ma maison ! » Photo : Dan Călin